​Questions à Belén Lazaro Ballo

Qu'est-ce qui s'est passé le 1er octobre 2017 ?

Il y a eu un référendum d’autodétermination de la Catalogne, approuvé par le gouvernement et le Parlement régional, mais suspendu par le Tribunal constitutionnel espagnol.

La question posée aux électeurs était : "Voulez-vous que la Catalogne soit un État indépendant sous la forme d'une république ?"

Avec un taux de participation de 42,4%, le "OUI" l'emporte à 90%. Les forces de police envoyées de Madrid s'en chargent de manière musclée et violente et plus de 900 personnes civiles (aussi des jeunes et des personnes âgées) sont blessées.

Et ensuite quels étaient les faits ?

D'un côté, l'exécutif catalan menaçait de faire sécession. De l'autre, le gouvernement et le roi Felipe VI refusaient toute médiation.

La Catalogne était en grève générale et la population faisait de manifestations partout dans la région.

Après il y a eu la détention de deux civils importants indépendantistes qui sont inculpés de sédition (instigation à la révolte contre le Pouvoir), ils sont tous deux prisonniers politiques.

Samedi 21 octobre, le gouvernement espagnol a détaillé les dispositions prises par Madrid pour suspendre l’autonomie de la Catalogne en vertu de l’article 155 de la Constitution. Une feuille de route qui doit encore être validée par le Sénat mais qui devrait bouleverser le fonctionnement de la région.

Le président catalan Puigdemont a dénoncé "une attaque contre la démocratie" après les mesures du président espagnol Rajoy, il a aussi demandé une réunion au Parlement catalan, sans pour autant proclamer l'indépendance.

Selon vous, comment se terminera cette affaire ?

Personnellement, moi, j'espère que la Catalogne deviendra une république indépendante avec la reconnaissance internationale !

«Don’t let the noise of others’ opinions drown out your own inner voice» says Bill George.

In times like these, when fear and hatred are being spread, this quote should be our mantra. In fact, it’s becoming increasingly difficult to stay true to our own ideals, especially when strong and violent opponents are there to threaten us.

This is what Lucie Myslikova, a 16-year-old Czech girl, proved during a neo-Nazi rally in her city, Brno.

The young girl took part to a counter-protest against the neo-Nazi party, putting her physical safety at stake. Although, as she said, that didn’t concern her in the slightest as her determination to change the world overcome her worries.

 Her emotional strength demonstrates that there is no excuse such as being too young or frail not to pursue one’s beliefs.

Lucie went through a harsh confrontation with a Nazi protester about immigrants and refugees and did not cower out in front of the older skinhead, with whom she tried to reason on the delicate subject.

She states that in that moment she did not fear for her safety and that she was glad to have been able to stand up for her ideals, i.e. make a world a better place.

As she stated, «physical scars always heal in the end», so it is not our personal safety we should worry about. Our most impellent concern should be the growing mentality that preaches selfishness and distrust instead of acceptance and mutual help. We can’t completely eradicate this school of thought, which has always been present in human nature, but we can still try to limit its effects around us, as Lucie did.

Especially we, as tomorrow’s leading generation, have the duty to choose on which side to stand and fight for it, no matter the age. In the end, this will only benefit us and perhaps grant us a somewhat peaceful environment to live in.

Therefore, it is comforting and admirable that young people get informed and take it upon themselves to pop the bubble of dread that more often than not engulfs young, clever minds.

This undoubtedly brave act should be an example to all youngsters, as it proves that making our voice being heard is really worth a try. If Lucie did so, why shouldn’t we?

Il prossimo 7 maggio si svolgerà il ballottaggio tra Macron e Le Pen, per la carica presidenziale francese. L’importanza di questo voto non si estende solo su dimensioni nazionali. Dopo i risultati ottenuti con le elezioni americane di Trump e dal Referendum sulla Brexit, l’opinione pubblica ha perso buona parte della sua attendibilità. Quindi i francesi sceglieranno Macron o Le Pen?

Molte analisi concordano nel dare la vittoria all’ex ministro Macron che ha ottenuto 23.75% delle preferenze nei sondaggi, contro il 21.53% di Le Pen. Hamon, ma anche Fillon si sono schierati dalla parte del centralista. “Dovete votarlo, per non far eleggere Le Pen”. Il candidato della destra repubblicana, Fillon ha detto ai suoi sostenitori: “Non abbiamo scelta, dobbiamo votare contro l’estrema destra di Marine Le Pen, quindi a titolo personale voterò per Macron”.

Entrambi i candidati propongono dei progetti di difficile realizzazione. Tuttavia sono i programmi dell’esponente dell’estrema destra, i più rivoluzionari.  I progetti anti-migranti e anti-Schengen di Marine Le Pen spaventano molti. Dopo l’elezione di Trump e la Brexit, sembra che la situazione internazionale stia voltando faccia, tornando a una situazione economica e politica comparabile agli anni ante-guerra. Infatti si tornerebbe ad una situazione di distinzione tra i vari paesi, e tensioni tra le nazionalità diverse, come appunto la 'caccia ai migranti'. Se Le Pen venisse votata, le leghe/istituzioni fondate tra paesi europei come l’Unione Europea stessa, probabilmente si sfalderebbero. Ma a lei ciò che interessa è che la “Francia sia dei francesi”

Quali saranno, dunque, i risultati delle elezioni?

BERLIN - „Ich nehme die Wahl an.“: Herr Frank-Walter Steinmeier, 61 Jahre alt, Sozialdemokrat, hat es geschafft: er wird ab dem 18. März das zwölfte Staatsoberhaupt der Bundesrepublik sein, als Nachfolger von Joachim Gauck.

Steinmeier ist nicht neu in der Politik: er ist Chef des Bundeskanzleramtes, Außenminister, Vizekanzler und Vorsitzender der SPD-Bundestagsfraktion gewesen.

Steinmeier wurde sofort im ersten Wahlgang gewählt, mit 931 Stimmen - mehr als 800 Stimmen lagen zwischen im und Christoph Butterwegge, Kandidat der Linken.

Steinmeier ist der „Mann der Einheit“: Es war am Ende keine große Überraschung, dass er von CDU/CSU, SPD, FPD und den Grünen als gemeinsamer Kandidat ausgesucht wurde. Er war immer sehr beliebt in Deutschland - ab und zu hat seine Popularität sogar die der Kanzlerin überschritten.

Auf den ersten Blick sieht Steinmeier aus, als wäre er Trumps genaues Gegenteil. Zur Frage, was er für ein Präsident sein würde, sagte er: „Ich würde ein Gegengewicht zu der unendlichen Vereinfachung sein, die ich heute sehe“.

Es ist unwahrscheinlich, dass Steinmeier seine Ideen in 140 Zeichen auf Twitter erklären wird, im Gegensatz zum US Präsidenten.

Steinmeier sagte auch, dass er noch nie einen Wahlkampf erlebt hätte, wie den Vergangenen in den USA.

Steinmeier hat Pech gehabt: er kommt in einer schwierigen Zeit ins Amt, und muss beweisen, dass er das Amt ausfüllen kann. In seiner Rede erklärte er, dass „Mutig sein“ das Motto für seine Bundespräsidentenschaft sein wird.

Was im Vergleich zu den anderen Bundespräsidenten anders sein wird, ist eine neue Verantwortung: wegen des amerikanischen Präsidenten Trump ist  der europäische Zusammenhalt in Gefahr.

Deshalb ist es möglicherweise gut, dass jetzt ein ehemaliger Außenminister das höchste Amt im Staat übernimmt; dank dieser Erfahrung hat Steinmeier Kontakt zu vielen ausländischen Regierungen.

Steinmeier wird am 18. März im Schloss Bellevue einziehen.

Les Etats-Unis ne sont pas le seul pays qui a dû élire un nouveau président. La France voit son chef d’Etat François Hollande abandonner sa position dès son élection en 2012, donc ses citoyens aussi vont choisir un nouveau représentant de la République.

La première session de votation sera le 23 avril tandis que la deuxième sera le 7 mai. Il manque encore quelques mois, mais on peut déjà voir ceux qui sont les plus populaires.

François Fillon est le candidat officiel pour ce qui concerne les partis de droite, mais l’autre candidat pour ce camp, Alain Juppé, a quand même beaucoup de partisans et on ne l’exclue pas comme possible vainqueur de l’élection.

La candidate la plus célèbre est Marine Le Pen, chef du parti du Front national et qui a déjà été candidate à la présidence en 2012, qui a 24% des intentions de vote pour le premier tour de votation selon un sondage récent.

Enfin, les candidats de gauche sont encore à établir définitivement, mais Jean-Luc Mélenchon a sûrement beaucoup de chances avec le soutien de 54% des militants communistes, même si ses votes et ceux du socialiste Emmanuel Macron sont presque à égalité.

Les facteurs qui vont influencer l’élection sont nombreux et de origines différentes : le phénomène Brexit a démontré que quitter l’Union Européenne est possible, et ce fait constitue un avantage pour Marine Le Pen, qui est très déterminée à tenir un referendum à ce propos. La crise économique, les récents attaques terroristes qui ont fait trembler la France et même la simple hausse du taux d’abstention de vote sont tous des facteurs qui auront leur influence sur le résultat des votations.

Les conséquences aussi sont à considérer. Surtout dans la vie quotidienne, on se demande si les intentions de François Fillon seront bonnes pour la population. Son but d’augmenter le temps de travail et de diminuer les allocations chômage n’est pas bien vu par certains, et à cause de cela il a reçu de dures critiques online.

Quel que soit le futur président français, on doit tenir compte du rôle que la France a dans les relations mondiales et que celui qui sera élu par la majorité de la population de la République devra faire face à beaucoup de problèmes, et y trouver la solution la meilleure pour ses citoyens.